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Il y a une ligne du poème anti-guerre immortel je chante d'Olaf joyeux et grand, dans laquelle le protagoniste, Olaf, un objecteur de conscience de l'époque de la Première Guerre mondiale qui finit par mourir en prison aux mains de l'État, déclare : « Il y a de la merde que je ne mangerai pas. »
Le problème fondamental auquel nous sommes confrontés au Moyen-Orient aujourd'hui est que, quand cela vient de Benjamin Netanyahu, il n'y a rien que Joe Biden ne mangera pas.

Biden a été l'objet de l'intimidation de Bibi pendant des années. Netanyahu s'est réjoui d'humilier alors le Vice-Président Biden lors de son voyage en Israël en 2010, annonçant le jour de son arrivée une expansion massive des « colonies » dans l'est de Jérusalem. À un certain moment, on pourrait penser, cela deviendrait une question de respect de soi, de virilité — pour Biden de tenir tête à Netanyahu. Mais non.

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