Attaquer Rafah, c’est la toute dernière décision criminelle du Premier ministre extrémiste d’Israël, Benjamin Netanyahu qui s’acharne sur cette ville : environ 100 000 Palestiniens entassés dans des conditions épouvantables à Rafah sont sommés de se replier dans la zone dite « humanitaire » et « sécurisée » de Muwasi, préparée par l’armée israélienne. La population cantonnée est sans surprise une cible facile à exterminer.

Attaquer Rafah le dernier plan diabolique de Netanyahu

Les efforts de médiation pour un cessez-le-feu risquent de tomber à l’eau, alors que le mouvement de la Résistance islamique de la Palestine, Hamas et les médiateurs, voire les proches alliés de l’entité sioniste ont mis en garde contre les conséquences d’une telle invasion inadmissible sur les négociations.

Attaqué de toutes parts, Israël semble plus isolé que jamais, la fin de la carrière politique de Netanyahu a maintes fois été annoncée. Pourtant, le Premier ministre israélien est toujours en poste et tente vainement de se sauver par plus de crimes.

Quelle est donc sa logique ? Les éléments de réponse avec Arnaud Develay, analyste politique et juriste international français.

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